Bien que les vecteurs des attaques soient largement les mêmes d’une
année sur l’autre, le volume des attaques va augmenter et il est
possible que la cybercriminalité soit largement sous-déclarée, d’après
l’étude 2019
State of Cybersecurity de l’ISACA.
Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. Voir le communiqué complet ici :
https://www.businesswire.com/news/home/20190604005438/fr/
ISACA’s State of Cybersecurity 2019 Report, Part 2 Infographic: Attacks, Awareness and Governance (Graphic: Business Wire)
« La sous-déclaration de la cybercriminalité—même lorsque la divulgation
est légalement obligatoire—semble être la norme », a déclaré Greg
Touhill, Brigadier Général (retraité), membre du conseil
d’administration de l’ISACA, président de Cyxtera Federal et premier
Chef de la sécurité informatique (CSI) fédéral des États-Unis. « La
moitié de toutes les personnes interrogées considèrent que la plupart
des entreprises sous-déclarent la cybercriminalité, même lorsque cela
est obligatoire. »
Également inquiétant, seulement 34 % des responsables de la
cybersécurité sont très confiants en la capacité de leur équipe de
cybersécurité de détecter et de répondre aux menaces de
cybercriminalité. Les niveaux de confiance les plus élevés se corrèlent
avec les équipes qui rendent directement compte au CSI, et les niveaux
les plus bas se corrèlent avec les équipes qui rendent compte au
directeur des systèmes d’information. Quarante-trois pour cent des
personnes interrogées disent que leurs équipes rendent compte à un CSI,
et 27 % rendent compte à un directeur des systèmes d’information.
« Ce que nous pouvons conclure de l’étude de cette année est que la
gouvernance dicte le niveau de confiance dans la cybersécurité », a
ajouté Frank Downs, directeur des pratiques de cybersécurité de l’ISACA.
Ces résultats indiquent une certaine confusion quand il s’agit de
structurer la cybersécurité avec les technologies de l’information.
L’étude
State of Cybersecurity de l’ISACA, commanditée par HCL, saisit les
perspectives de plus de 1 500 personnes qui définissent le domaine à
l’échelle mondiale.
D’après ce rapport, publié aujourd’hui dans le cadre d’Infosecurity
Europe, les trois principaux vecteurs de menace demeurent les
cybercriminels, les pirates informatiques et les initiés non malicieux.
Le hameçonnage, le maliciel et l’ingénierie sociale sont les types
d’attaques les plus fréquents pour la troisième année consécutive. Le
rançongiciel a baissé de manière significative ; 37 % des entreprises
ont signalé avoir fait l’objet de rançongiciel dans l’étude de l’année
dernière, par rapport à 20 % cette année.
Un peu moins de la moitié des entreprises signalent une augmentation des
attaques de cybersécurité cette année, et 79 % pensent qu’elles risquent
de subir une cyberattaque l’année prochaine.
« La cybersécurité souffre d’une approche cloisonnée et statique », a
déclaré Renju Varghese, membre et architecte en chef, CyberSecurity &
GRC, chez HCL Technologies Ltd. « De nombreuses équipes manquent des
attaques significatives car leur taille ou leur expertise n’est pas
suffisante pour être à la hauteur des attaquants. De plus, leurs outils
de sécurité et leurs processus existants sont séparés et fonctionnent
rarement en tandem. »
Toutefois, en analysant soigneusement les variables contribuant à la
susceptibilité aux incidents et à l’inefficacité des équipes—y compris
la structure de cyber reportage, les méthodes d’attaque courantes et
l’état de préparation des équipes via une culture d’éducation
professionnelle continue—les entreprises peuvent mieux se préparer aux
dangers que présentent les cyber mécréants, explique M. Downs.
Les parties 1 et 2 de State of Cybersecurity 2019 sont
disponibles à titre gratuit sur www.isaca.org/info/state-of-cybersecurity-2019/index.html,
dans le cadre du Cybersecurity
Nexus de l’ISACA, qui offre des titres de compétences, des
formations, des orientations et des recherches aux professionnels de la
sécurité.
À propos de l’ISACA
L‘ISACA®, (isaca.org),
qui célèbre son 50e
anniversaire cette année, est une association mondiale de 140 000
membres qui travaillent dans la gouvernance, l’assurance, le risque et
l’innovation.
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être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
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