BSA estime que le nombre de logiciels installés illégalement a atteint l’an passé la vertigineuse valeur commerciale de 59 milliards de dollars, tandis que la valeur des logiciels achetés légalement culminait elle à 95 milliards de dollars ! Un sérieux manque à gagner pour les éditeurs…
Qui pirate le plus ?
L’Europe de l’Est et Centrale, ainsi que l’Amérique du Sud, sont les régions où le taux de piratage est le plus élevé (64%), avant l’Asie-pacifique (60%). Le taux de piratage dans l’Union européenne passe lui sous la moyenne mondiale (35%). Elle s’élève à 33% pour l’Europe de l’Ouest. Elle se situe seulement à 21% pour l’Amérique du Nord.
Néanmoins, au sein de l’UE, la France se singularise par un taux moyen en piratage de logiciels évalué à 39% de l’ensemble des logiciels installés en 2010. Soit une valeur estimée à 1,9 milliard d’euros à rapprocher des près de 9 milliards d’euros en Europe. Triste constat : la France arrive première des 27 pays de l’Union européenne en matière de valeur marchande des logiciels piratés (contrairement à l’Eurovision de la Chanson, la France est toujours première ou dans le peloton de tête depuis que cette étude existe).
Paradoxe ?
A la lumière de ces chiffres, la Business Software Alliance note que, paradoxalement, les dires et les pratiques des Français ne concordent pas. En effet, 68% des Français interrogés se disent favorables à la rémunération des auteurs pour leurs créations. Ils prennent également davantage conscience des dangers d’utiliser un logiciel piraté : malwares, botnets, virus susceptibles de débarquer sur l’ordinateur utilisant une copie illicite. Et ils soulignent que les logiciels installés légalement sont plus fiables.
« Clairement, la valeur apportée par les logiciels licites est très bien perçue », note Jean-Sébastien Mariez, porte-parole de BSA. « Ces résultats confirment qu’il faut faire comprendre aux utilisateurs que les logiciels téléchargés depuis des réseaux P2P sont souvent illicites, et qu’installer sur plusieurs ordinateur chez soi ou au bureau des logiciels achetés pour une seule machine relève du piratage ».
BSA estime que le nombre de logiciels installés illégalement a atteint l’an passé la vertigineuse valeur commerciale de 59 milliards de dollars, tandis que la valeur des logiciels achetés légalement culminait elle à 95 milliards de dollars ! Un sérieux manque à gagner pour les éditeurs…
Qui pirate le plus ?
L’Europe de l’Est et Centrale, ainsi que l’Amérique du Sud, sont les régions où le taux de piratage est le plus élevé (64%), avant l’Asie-pacifique (60%). Le taux de piratage dans l’Union européenne passe lui sous la moyenne mondiale (35%). Elle s’élève à 33% pour l’Europe de l’Ouest. Elle se situe seulement à 21% pour l’Amérique du Nord.
Néanmoins, au sein de l’UE, la France se singularise par un taux moyen en piratage de logiciels évalué à 39% de l’ensemble des logiciels installés en 2010. Soit une valeur estimée à 1,9 milliard d’euros à rapprocher des près de 9 milliards d’euros en Europe. Triste constat : la France arrive première des 27 pays de l’Union européenne en matière de valeur marchande des logiciels piratés (contrairement à l’Eurovision de la Chanson, la France est toujours première ou dans le peloton de tête depuis que cette étude existe).
Paradoxe ?
A la lumière de ces chiffres, la Business Software Alliance note que, paradoxalement, les dires et les pratiques des Français ne concordent pas. En effet, 68% des Français interrogés se disent favorables à la rémunération des auteurs pour leurs créations. Ils prennent également davantage conscience des dangers d’utiliser un logiciel piraté : malwares, botnets, virus susceptibles de débarquer sur l’ordinateur utilisant une copie illicite. Et ils soulignent que les logiciels installés légalement sont plus fiables.
« Clairement, la valeur apportée par les logiciels licites est très bien perçue », note Jean-Sébastien Mariez, porte-parole de BSA. « Ces résultats confirment qu’il faut faire comprendre aux utilisateurs que les logiciels téléchargés depuis des réseaux P2P sont souvent illicites, et qu’installer sur plusieurs ordinateur chez soi ou au bureau des logiciels achetés pour une seule machine relève du piratage ».
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