Par Spamina (www.spamina.com)
80-95% des 250 milliards d’emails envoyés chaque jour sont des spams ou malwares. Non seulement, ces emails non-autorisés représentent une menace pour la sécurité de l’entreprise mais ils coûtent et font perdre du temps aux administrateurs de réseaux, notamment s’ils ont opté pour des solutions de Firewall et d’anti-spam internes et low-cost.
Cette approche pose de nombreux problèmes. Au cœur du réseau, le virus ou spam, même détecté et isolé, consomme de la bande passante, de l’espace de stockage et les ressources du serveur. Pour lutter contre les cyberattaques, toujours plus évoluées, les entreprises doivent se doter d’outils performants et évolutifs, dont elles confient généralement la gestion à une équipe interne en sous effectif, déconsidérée et ne disposant pas des compétences et des ressources nécessaires.
L’alternative : une solution de sécurité des emails en mode cloud pour bloquer de façon fiable et performante les courriers indésirables.
La gestion de la sécurité du courrier électronique en mode cloud constitue souvent la meilleure option sur le long terme pour la plupart des entreprises, leurs prestataires et revendeurs, qui bénéficient rapidement d’un retour sur investissement.
Prendre au sérieux la sécurité du courrier électronique, ne signifie pas pour autant augmentation des coûts.
Toutefois, les revendeurs doivent surmonter quelques réticences à l’égard des solutions de sécurité du courrier électronique en mode cloud. Ils doivent notamment garder à l’esprit que les entreprises hésitent à abandonner le contrôle de la sécurité de leurs emails. Ainsi, la priorité est souvent donnée à des solutions qui peuvent fonctionner aussi bien en mode cloud public qu’en mode cloud privé.
Les cloud privés sont critiqués parce que les utilisateurs doivent les acheter, les construire et les manager. Ils présentent pourtant les mêmes avantages qu’un cloud public : les spams et contenus indésirables sont détectés et éliminés très en amont, bien avant de franchir le seuil de l’infrastructure de l’organisation elle-même. L’utilisation d’un cloud public par rapport à un cloud privé présente un autre bénéfice majeur en terme de coût total de possession (TCO). Si tout est managé en amont par le fournisseur de l’application, les frais généraux et opérationnels sont considérablement réduits.
La variété des modes cloud disponibles – publics, privés ou même hybrides – peut compliquer la prise de décision chez les revendeurs. Une solution disponible dans les trois modes permet aux revendeurs d’enrichir leur portfolio afin d’adresser une plus large cible commerciale.
Quel que soit le type de solution de sécurité du courrier électronique adoptée, installée en interne ou disponible en mode SaaS, seule compte sa capacité d’analyse et de filtrage pour protéger l’entreprise de toute menace. Grâce au mode cloud, le serveur de l’entreprise n’est pas impacté par les attaques venues de L’Internet ; les capacités de stockage, la performance et la largeur de la bande passante du serveur d’entreprise sont ainsi préservées.
En 2011, l’intérêt des acteurs du marché pour les solutions de sécurité du courrier électronique en cloud devrait s’intensifier, même si à ce jour elles ne représentent qu’une opportunité de revenus à long terme. Des solutions de sécurité holistiques offrent une protection globale, au-delà du spam et des malwares, en intégrant l’archivage, la sauvegarde, la récupération et le chiffrement du courrier électronique.
Disponible au sein d’une plateforme unique et unifiée, ce type de solution de sécurité globale optimise le temps et les ressources de l’équipe informatique, permettant ainsi à l’entreprise de gagner en productivité et en compétitivité ; des avantages sérieux dans une période de restriction budgétaires.