Le norvégien Tandberg va-t-il céder in fine à l’offre de Cisco ? Jusqu’à récemment, et le refus d’une part substantielle des actionnaires de la firme, on donnait peu de chances à Cisco de remporter la mise. C’était mal connaitre la volonté des dirigeants de Cisco qui ont de la suite dans les idées et veulent absolument asseoir leur leadership sur un marché en plein boom. Les 2,98 milliards de dollars proposés précédemment n’ayant pas suffis, et la législation norvégienne – l’une des plus protectrices d’Europe - imposant au moins 90% d'actionnaires validant l’offre, l’équipementier US a donc décidé d’accorder dans un premier temps (jusqu’au 18 novembre prochain) un délai de réflexion supplémentaire pour son offre initiale, dont la date de péremption était fixée au 9 novembre, et – si ça ne suffit pas – un surenchérissement de son offre. Celle-ci est portée à 3,4 milliards de dollars et la nouvelle date de péremption est fixée au 1er décembre. Chez Cisco on insiste bien sur le fait qu’il s’agit-là d’un « prix final », que c’est à prendre ou à laisser... Le porte-parole de la firme prévient : « si l'acquéreur n'obtient pas le niveau d'acceptation requis, l'acquéreur retirera sa nouvelle offre et réfléchira aux alternatives pour étendre ses activités sur le marché de la communication vidéo ». Une annonce d’autant plus importante à l’heure où les mouvements de concentration s’amplifient dans le secteur, avec particulièrement l’annonce du rachat par Logitech de LifeSize Communications pour une somme rondelette, mais bien sûr sans commune mesure : 405 millions de dollars.
Le norvégien Tandberg va-t-il céder in fine à l’offre de Cisco ? Jusqu’à récemment, et le refus d’une part substantielle des actionnaires de la firme, on donnait peu de chances à Cisco de remporter la mise. C’était mal connaitre la volonté des dirigeants de Cisco qui ont de la suite dans les idées et veulent absolument asseoir leur leadership sur un marché en plein boom. Les 2,98 milliards de dollars proposés précédemment n’ayant pas suffis, et la législation norvégienne – l’une des plus protectrices d’Europe – imposant au moins 90% d’actionnaires validant l’offre, l’équipementier US a donc décidé d’accorder dans un premier temps (jusqu’au 18 novembre prochain) un délai de réflexion supplémentaire pour son offre initiale, dont la date de péremption était fixée au 9 novembre, et – si ça ne suffit pas – un surenchérissement de son offre. Celle-ci est portée à 3,4 milliards de dollars et la nouvelle date de péremption est fixée au 1er décembre. Chez Cisco on insiste bien sur le fait qu’il s’agit-là d’un « prix final », que c’est à prendre ou à laisser… Le porte-parole de la firme prévient : « si l’acquéreur n’obtient pas le niveau d’acceptation requis, l’acquéreur retirera sa nouvelle offre et réfléchira aux alternatives pour étendre ses activités sur le marché de la communication vidéo ». Une annonce d’autant plus importante à l’heure où les mouvements de concentration s’amplifient dans le secteur, avec particulièrement l’annonce du rachat par Logitech de LifeSize Communications pour une somme rondelette, mais bien sûr sans commune mesure : 405 millions de dollars.
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