Sun et Oracle (via une présentation en ligne de Larry Ellison, pdg d'Oracle, accompagné de John Fowler, VP en charge des systèmes Sun) viennent d’annoncer que leurs deux firmes, qui n’en formeront bientôt plus qu’une, vont lancer de concert une appliance de base de données : la V2 d’Exadata Database Machine (EDM), la première version étant le fruit des amours désormais sans lendemain entre Oracle et HP. Principale nouveauté de cette Appliance ? Une nouvelle cible : celle du marché du transactionnel (ou OLTP).
De quoi s’agit-il ? L’appliance mixe habilement équipements serveurs et stockage de Sun avec le logiciel Oracle 11g R2 (tout récemment annoncé). Côté hardware, les processeurs embarqués ne sont plus estampillés Sun, mais Intel (des Nehalem plutôt que des Sparc, en dépit d’une récente campagne où Oracle assurait de sa volonté de poursuivre ses investissements autour des processeurs de Sun).
Exadata v2 exploite en clair des serveurs x4170 de Sun ainsi que des serveurs de stockage x4275, chacun d’entre eux héritant de 12 disques durs à la norme SAS ou SATA et de « FlashFire » (des modules de cache fonctionnant à base de mémoire flash).
Quatre pour un
Ce n’est pas un modèle d’Exadata v2 qui va être mis sur le marché, mais bien quatre modèles distincts. Pourquoi quatre ? Larry Ellison a expliqué qu’il s’agissait de répondre à différents niveaux d’exigences en termes de volumétrie et de puissance. Disponibles en rack plein, demi-rack ou quart de rack, avec respectivement 8 serveurs et 14 baies de stockage (100 To d'espace par rack en SAS ou 336 To en SATA), 4 serveurs et 7 serveurs de stockage et 2 serveurs et 3 serveurs de stockage (la version « basique » ne comptant en tout et pour tout que deux serveurs), l’ensemble des configurations proposées a commencé d’être livré aux grands acteurs de la distribution mondiale.
Côté performances, Oracle évoque pour sa nouvelle appliance une rapidité accrue : deux fois plus rapide, selon ses dires, que la première mouture d’Exadata. Outre l’utilisation des Xeon Nehalem qui peuvent expliquer ce surcroit de puissance, l'usage des Flashfire est également mis en avant par les deux parents de l’Exadata 2. De quoi satisfaire les besoins les plus importants, essentiellement ceux de grands comptes devant traiter un énorme volume de données hétérogènes.
Sun et Oracle (via une présentation en ligne de Larry Ellison, pdg d’Oracle, accompagné de John Fowler, VP en charge des systèmes Sun) viennent d’annoncer que leurs deux firmes, qui n’en formeront bientôt plus qu’une, vont lancer de concert une appliance de base de données : la V2 d’Exadata Database Machine (EDM), la première version étant le fruit des amours désormais sans lendemain entre Oracle et HP. Principale nouveauté de cette Appliance ? Une nouvelle cible : celle du marché du transactionnel (ou OLTP).
De quoi s’agit-il ? L’appliance mixe habilement équipements serveurs et stockage de Sun avec le logiciel Oracle 11g R2 (tout récemment annoncé). Côté hardware, les processeurs embarqués ne sont plus estampillés Sun, mais Intel (des Nehalem plutôt que des Sparc, en dépit d’une récente campagne où Oracle assurait de sa volonté de poursuivre ses investissements autour des processeurs de Sun).
Exadata v2 exploite en clair des serveurs x4170 de Sun ainsi que des serveurs de stockage x4275, chacun d’entre eux héritant de 12 disques durs à la norme SAS ou SATA et de « FlashFire » (des modules de cache fonctionnant à base de mémoire flash).
Quatre pour un
Ce n’est pas un modèle d’Exadata v2 qui va être mis sur le marché, mais bien quatre modèles distincts. Pourquoi quatre ? Larry Ellison a expliqué qu’il s’agissait de répondre à différents niveaux d’exigences en termes de volumétrie et de puissance. Disponibles en rack plein, demi-rack ou quart de rack, avec respectivement 8 serveurs et 14 baies de stockage (100 To d’espace par rack en SAS ou 336 To en SATA), 4 serveurs et 7 serveurs de stockage et 2 serveurs et 3 serveurs de stockage (la version « basique » ne comptant en tout et pour tout que deux serveurs), l’ensemble des configurations proposées a commencé d’être livré aux grands acteurs de la distribution mondiale.
Côté performances, Oracle évoque pour sa nouvelle appliance une rapidité accrue : deux fois plus rapide, selon ses dires, que la première mouture d’Exadata. Outre l’utilisation des Xeon Nehalem qui peuvent expliquer ce surcroit de puissance, l’usage des Flashfire est également mis en avant par les deux parents de l’Exadata 2. De quoi satisfaire les besoins les plus importants, essentiellement ceux de grands comptes devant traiter un énorme volume de données hétérogènes.
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