Pour IBM, il s’agit essentiellement d’une décision stratégique lui permettant d’affirmer son leadership sur le marché des serveurs, à l’heure où la concurrence s’aiguise. Selon IDC, IBM revendiquait l’an dernier le premier vendeur de serveurs Unix, avec une PDM de 37%, suivi par Sun (28%) et HP (27%). Mécaniquement et arithmétiquement la fusion des deux géants américains va permettre à Big Blue de caracoler en tête du classement loin devant ses concurrents HP, Dell ou Cisco récemment arrivé sur le marché des serveurs.
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