Le message est froid et à la fois limpide : « Cisco évalue constamment ses priorités, ses ressources et ses effectifs » et évoque une « restructuration limitée » rendue nécessaire par l’évolution des marchés.
Certaines sources, dont l’AFP, indiquent que de source proche du dossier ce processus de restructuration aurait bel et bien commencé et que d’ores et déjà quelques centaines d’emplois aux Etats-Unis – dont 250 sur le site californien de San José -, ainsi à l’international, seraient déjà supprimés.
Au début du mois de février, John Chambers (CEO de Cisco) avait évoqué l’idée d’un ajustement aux conditions nouvelles du marché pouvant « déboucher sur une réduction de 1 500 à 2 000 postes », soit environ 3% des effectifs mondiaux de l’équipementier, qui en comptent plus de 65 000.
Il ajoutait qu’il n’envisageait pas de procéder à une large vague de licenciements, tout en ne fermant pas tout à fait la porte à cette hypothèse en cas de dégradation majeure de l’activité (ce, sur fond d’annonce du dépôt de bilan de Nortel).
Il paraît probable qu’in fine le nombre de suppressions de postes dans le monde atteindra au moins les 1 500 postes évoqués dans l’hypothèse « favorable », avec un minimum de licenciements secs à la clé, des déplacements d’effectifs entre entités du groupe et l’encouragement aux départs volontaires.
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