Lemaire Bâtiment révolutionne sa gestion avec les logiciels Sage
Le choix de la sécurité
Lemaire Bâtiment a rédigé un cahier des charges, avec à l’esprit cette maxime « conserver ce qui fonctionne et rationnaliser ce qui ne marche pas ».
L’entreprise et son D.A.F. ont prospecté le marché pour répondre à plusieurs problématiques : prise de commande, suivi des interventions, devis, urgence/entretien. Déjà satisfait du module Sage Paie installé en 2006 (la comptabilité générale était aussi confiée à Sage Compta), Lemaire Bâtiment a finalement renouvelé sa confiance à Sage et adopté de nouveaux progiciels, en particulier pour la comptabilité et la gestion des devis.
Et Monsieur de la Roche Saint-André d’expliquer : « Tous les logiciels testés dans le cadre du cahier des charges s’étaient retrouvés bloqués face à nos feuilles d’intervention et nous obligeaient à une ressaisie fastidieuse, qui aurait été peu utile face au tableur ».
« Sage était un choix rassurant : leur savoir-faire est reconnu sur le marché des PME et leur offre est large dans tous les métiers et toutes les fonctions. Leur connaissance et leur compréhension du secteur du bâtiment ont été des plus indéniables. Un progiciel développé spécifiquement aurait coûté horriblement cher et n’aurait pas connu de mises à jour régulières. J’estime qu’un progiciel qui connaît moins d’une mise à jour par an n’est pas fiable : cela signifie que l’éditeur n’a pas les reins solides ou qu’il n’est pas assez à l’écoute de ses clients. Les mises à jour nous bousculent dans nos habitudes et nous poussent sans cesse à réfléchir sur la manière d’améliorer nos processus, c’est sain et même indispensable », poursuit Loïc de la Roche Saint-André.
Pour la mise en œuvre, la formation et l’accompagnement des salariés sur les outils Sage, Lemaire Bâtiment à fait appel à la société Prodware, dont Fabrice Freyre (Directeur Marché BTP) fut l’interlocuteur principal. Loïc de la Roche Saint-André ajoute avec le sourire : « Ce que j’ai bien aimé de la part du couple Sage-Prodware, c’est qu’ils nous ont dit que c’était possible et qu’ils l’ont confirmé ! »