Sera-ce une partie de campagne ou l’hallali devant le magasin parisien de Surcouf (celui de Daumesnil ou celui de Haussmann, on ne sait pas encore) ?
En tous cas, deux associations particulièrement braquées par toutes les images de la pub réduisant les femmes au statut d’objet sexuel vont faire du barouf et aboyer bien fort devant les magasins Surcouf samedi 25 octobre.
Il s’agit de La Meute (contre la publicité sexiste) et des Chiennes de Garde. Désormais associées pour constituer La Meute des Chiennes de Garde, elles vont donc mordre pour la première fois de concert les mollets de Surcouf pour protester contre les annonces du distributeur de matériel informatique, qui donne à voir d’accortes jeunes femmes en très petite tenue. Etait-ce bien nécessaire ? Mais est-ce bien raisonnable ?
Ce qui est étonnant c’est que quelques semaines plus tôt, la pub de Surcouf utilisait cette fois l’image d’un homme habillé d’un rien, et là les Chiennes de garde et La Meute n’avaient pas réagi. Y’aurait-il deux poids deux mesures ? Et tout cela ne manquerait-il pas d'une petite pointe d'humour ?
Mise à jour au 24/10:
Surcouf a renoncé dès hier à sa campagne d'affichage. Du coup, la manifestation prévue samedi devant le magasin de l'avenue Daumesnil (Paris XIIème) n'aura pas lieu et les deux associations antisexistes, réunies en une seule, se félicitent du résultat de leur pression. Surcouf, dans un communiqué, a justifié la campagne au "ton résolument humoristique" - qui avait démarré depuis plusieurs semaines, tout en annonçant son retrait.
Sera-ce une partie de campagne ou l’hallali devant le magasin parisien de Surcouf (celui de Daumesnil ou celui de Haussmann, on ne sait pas encore) ?
En tous cas, deux associations particulièrement braquées par toutes les images de la pub réduisant les femmes au statut d’objet sexuel vont faire du barouf et aboyer bien fort devant les magasins Surcouf samedi 25 octobre.
Il s’agit de La Meute (contre la publicité sexiste) et des Chiennes de Garde. Désormais associées pour constituer La Meute des Chiennes de Garde, elles vont donc mordre pour la première fois de concert les mollets de Surcouf pour protester contre les annonces du distributeur de matériel informatique, qui donne à voir d’accortes jeunes femmes en très petite tenue. Etait-ce bien nécessaire ? Mais est-ce bien raisonnable ?
Ce qui est étonnant c’est que quelques semaines plus tôt, la pub de Surcouf utilisait cette fois l’image d’un homme habillé d’un rien, et là les Chiennes de garde et La Meute n’avaient pas réagi. Y’aurait-il deux poids deux mesures ? Et tout cela ne manquerait-il pas d’une petite pointe d’humour ?
Mise à jour au 24/10:
Surcouf a renoncé dès hier à sa campagne d’affichage. Du coup, la manifestation prévue samedi devant le magasin de l’avenue Daumesnil (Paris XIIème) n’aura pas lieu et les deux associations antisexistes, réunies en une seule, se félicitent du résultat de leur pression. Surcouf, dans un communiqué, a justifié la campagne au « ton résolument humoristique » – qui avait démarré depuis plusieurs semaines, tout en annonçant son retrait.
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