Dans le cadre d’un plan de restructuration à 60 millions de dollars décidé il y a quelques jours, l’entreprise de semi-conducteurs va donc procéder à la suppression de 15% de ses postes, ce qui va mettre pas moins de 2 850 salariés sur le carreau, dont 1 500 rien que pour l’unique usine de production du fondeur à Boise (Idaho). Le site de fabrication de mémoire NAND, fruit de la joint-venture avec Intel, sera fermé et, chose unique, les rémunérations des cadres seniors devraient dans le même temps baisser d’un cinquième.
En revanche, les sites installés dans l’Utah et la Virginie devraient être conservés si l’on en croit le communiqué publié par Micron jeudi dernier.
Motif officiel de la restructuration : la saturation du marché et une baisse continue et semble-t-il inexorable du tarif des mémoires NAND. Mais il intervient surtout après la publication des pertes les plus lourdes de l’histoire de Micron : au dernier trimestre, le fabricant a ainsi enregistré une perte nette de 344 millions de dollars et les pertes cumulées depuis 2007 s’élèvent frisent avec les 2 milliards de dollars.
Alors que les directions cybersécurité doivent composer avec une pression réglementaire croissante, la montée en…
Le marché français de la distribution IT traverse une phase de rationalisation, marquée par des…
Alors que de plus en plus d’organisations délaissent les approches réseau traditionnelles au profit d’architectures…
Alors que la consolidation des solutions de cybersécurité devient une priorité, la capacité à unifier…
La pression croissante sur les PME en matière de cybersécurité bouleverse les équilibres du marché.…
Les équipes de HarfangLab ont mis en lumière une campagne de cyberespionnage toujours en cours,…